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UNE ÉVOCATION DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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SAVIEZ-VOUS QUE...

La retraite du 21e régiment d'infanterie coloniale qui, le 22 mars 1913, passa par les rues de Patay, Jeanne d'Arc, le boulevard de la Gare, les rues Pinel, de Campo Formio, les avenues des Gobelins et de Choisy ne donna lieu à aucun incident.


En 1929, il y avait une maison de tolérance au 9 du boulevard Blanqui.


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

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Noté dans la presse...

1868

Le puits artésien de la Butte-aux Cailles

Les travaux du puits artésien qui est en cours d'exécution à la Butte-aux-Cailles, dans le 13e arrondissement de Paris, se poursuivent régulièrement, et la profondeur atteinte par l'instrument de forage dépasse aujourd'hui 350 mètres.

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C'est arrivé dans le 13ème

 À coups de rasoir

À coups de rasoir

Le Petit-Parisien ― 4 octobre 1927

Après avoir vécu pendant quelque temps avec Mlle Gabrielle Hardy, vingt-six ans, demeurant 166 avenue de Choisy, le commissionnaire en pommes de terre, René Le Rouzic, même âge, informait hier son amie qu'il avait décidé de reprendre sa liberté. Vainement, la jeune fille essaya de le faire revenir sur sa détermination. Toute la nuit, Gabrielle Hardy songea cette séparation imminente, Puis, le jour venu, elle prit une décision. Se levant sans bruit et s'armant d'un rasoir, elle en porta un coup furieux à la gorge de celui qui voulait la quitter.

Le Rouzic a été transporté à la pitié, où son état a été jugé peu grave. La meurtrière a été arrêtée par M. Fauvel, commissaire de police de la Maison-Blanche.


 Drame de la jalousie - 1923

Drame de la jalousie.

L'Humanité ― 21 décembre 1923

Hier matin, Mme Aubry, 14, rue du Moulin-de-la-Pointe, a tué d'un coup de revolver son mari Léon Aubry, égoutier, qui dilapidait son salaire avec une maîtresse et menaçait de quitter sa femme et ses trois enfants.


Faits divers

 LES "ETRANGLEURS DES GOBELINS" - Le Gaulois — 24 mars 1895

Les « étrangleurs des Gobelins »

Le Gaulois — 24 mars 1895

Cinquante-quatre arrestations

Depuis quelque temps, le quartier des Gobelins était infesté d'individus suspects, gens sans aveu qui, le soir venu, s'attaquaient aux passants, dévalisaient les ivrognes endormis sur les bancs et pratiquaient l'occasion le coup du « père François ».

M. Cochefert ne tarda pas à avoir preuve que ces malfaiteurs formaient une bande très bien organisée, connue sous nom des étrangleurs des Gobelins » et qu'ils se réunissaient tous les jours dans les bars de l'avenue d'Italie et l'avenue Choisy, et du boulevard de la Gare.

Ajoutons que la plupart des bars de et du boulevard de Gare et de l’avenue de Choisy communiquent entre eux par un long couloir et que cette disposition des lieux servaient merveille les malfaiteurs.

Le chef de La Sûreté, après avoir fait cerner les bars par des gardiens de la paix pénétrait vers onze heures, l’avant dernière nuit, accompagné de vingt inspecteurs.

Au même moment, des cris épouvantables retentissaient dans un-coin. Un ouvrier corroyeur, qui s'était fourvoyé là par hasard, venait d'être frappé d’un coup de couteau dans le dos. On transportait le blessé au poste de police où gon état était reconnu très grave.

La chambrée était complète et les malfaiteurs trinquaient joyeusement. À la vue du chef de la Sûreté, ce fut à qui prendrait la fuite. Mais toutes les issues étaient gardées et les clients des bars étaient conduits deux par deux, cabriolet au poing, au poste de la mairie où ils étaient minutieusement fouillés.

La police fit une véritable récolte de fausses clefs, de revolvers et de coups-de-poing américains. Quand tout l'établissement fut déblayé, on trouva encore sous les tables tout un stock d’armes que les malfaiteurs y avaient jetées.

Le coup de filet été excellent, et les tribunaux correctionnels ne vont pas chômer.

Cinquante-quatre « suspects » ont été écroués au Dépôt.

Il y a là des voleurs, des repris de justice, des gens à qui le séjour de Paris est interdit, et que l'on recherchait depuis longtemps pour des délits et pour des crimes. Plusieurs femmes ont été également arrêtées.


A lire également

Le récit de la rafle par Le Matin

Le récit de la rafle par Le Figaro

Les étrangleurs des Gobelins (8 juin 1894)

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Ailleurs sur Paris-Treizieme

Rue Charles-Bertheau plusieurs immeubles menacent maintenant de s'effondrer

Dimanche, dans la nuit, un craquement sinistre a éveillé les locataires d'un des vieux immeubles de cette rue. une maison d'un étage, portant le numéro 10. D'un coup la maison s'était lézardée du haut en bas. menaçant de s'effondrer. (1929)

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54 habitants de la rue Charles Bertheau sont sans logis

Le quartier de la Gare est en émoi. A la suite de perturbation du sol, peut-être aussi de fissures de conduites d'eau et d'infiltrations, la plupart des immeubles de la rue Charles-Bertheau, dont certains sont neufs, menacent ruine (1937)

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Les sinistrés de la rue Charles-Bertheau attendent en vain un logement et des secours

Les 84 sinistrés de la rue Charles-Bertheau ont manifesté pour obtenir de la ville de Paris des logements ou un secours suffisant. (1937)

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Les Bijoutiers

Savez-vous ce que c'est qu'un Bijoutier ?...
C'est un de ces industriels qui achètent aux laveurs de vaisselle des restaurants les débris de viande cuite jugés indignes d'être offerts à la clientèle, et qui vendent ces débris, connus sous le nom d'arlequins, aux pauvres gens des quartiers populeux.
Or, depuis quelque temps, les étalages des bijoutiers du marché des Gobelins étaient mieux fournis que d'habitude... (1872)

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Menu faits divers

Faits divers

Le pénible drame du quartier Croulebarbe - 1929

Lamentable drame que celui qui jeta, hier soir, l'émoi dans le populeux quartier Croulebarbe.

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Une cartomancienne assassine son ami - 1921

n cette pittoresque cité Jeanne-d'Arc, 166 bis rue Nationale, où gitent tant de laborieux chiffonniers, était, il y a quelque temps, venu se fixer un couple, assez mal assorti du reste, sur l'existence duquel on manque, pour l'instant, de renseignements.

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L'incendie de la rue des Cordelières - 1895

Hier soir, vers sept heures et demie, le feu s'est déclaré, avec une grande violence, dans l'immeuble situé 24, rue des Cordelières (13è arrondissement), où se trouvent une fabrique d'eau de seltz et un dépôt d'eaux minérales appartenant à M. Aureau.

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Grave affaire de fraude dans le quartier Croulebarbe - 1904

Les sels dénaturés utilisés par les tanneurs de la Bièvre servaient ensuite pour la confection des glaces, sorbets et gaufrettes

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Des bandits en auto dévalisent une passante puis attaquent une crémière - 1931

D'audacieux bandits, des jeunes gens, si l'on en croit le signalement donné par les victimes, ont opéré, l'autre nuit, d'abord rue du Bois-de-Boulogne, à Neuilly, puis rue Brillat-Savarin, en utilisant une automobile volée.

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Le drame de la rue Brillat-Savarin - 1900

Rue Brillat-Savarin, dans un modeste logement du troisième étage, habitait depuis quelque temps un journalier, Jean Simon, âgé de quarante ans, et sa fille, laquelle fréquentait un employé de commerce, Lucien Grandet, qui venait la voir quotidiennement.

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Le drame de la rue de Tolbiac : un mari qui tue sa femme - 1902

Un drame sanglant s'est déroulé hier soir, vers huit heures et demie, au n°204 de la rue de Tolbiac.
M. André Gastin, âgé de quarante-cinq ans, établi marchand de vins à cette adresse, avait cessé son commerce le mois dernier, mais il continuait d'habiter le rez-de-chaussée de l'immeuble.

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Le drame de la rue de Tolbiac : un commis boucher blesse grièvement sa femme puis se suicide - 1936


Le drame de la rue de Tolbiac : Un soldat tire sur sa femme et la blesse mortellement - 1908


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Le drame de la rue de Tolbiac : un drame passionnel fait deux morts - 1906


Le drame de la rue de Tolbiac : double tentative de meurtre - 1895


Le drame de la rue de Tolbiac : double tentative de meurtre - 1895 (Petit-Parisien)


Le drame de la rue Jenner n°27 - 1893


Le drame de la rue Jenner n°6 - 1893


Le drame de la rue des Tanneries - 1932


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Fiançailles d'Apaches - 1904


Un meurtre rue Baudricourt - 1904


Quadruple empoisonnement - 1893


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