UNE ÉVOCATION
DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30
Dimanche 17 Janvier 2021
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SAVIEZ-VOUS QUE... Depuis le lundi 26 août 1935, et dans un premier temps à titre d'essai, la circulation des véhicules s'effectue à sens unique, d'est en ouest, sur chacune des rampes de la voûte dite « Poterne des Peupliers ». Le 26 octobre 1923, l'automobile de M. Naudin, conseiller d'Etat, ancien préfet de police, entrait en collision avec un taxi à l'angle de l'avenue des Gobelins et du boulevard Saint-Marcel. Dégats matériels uniquement. Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! » A NE PAS MANQUER... DANS LA PRESSELes quartiers pauvres (1869)Monsieur Félix Faure à l'École
Estienne (1895)
LIEUXLa mairie du 13e (1893)
PROMENADELa Glacière et les GobelinsLe Petit Parisien (1931)EtudesLa misère à Paris : le XIIIè arrondissementLittératureOù Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs...La rue des Peupliers vue par Jules MaryLa perdition de la Bièvre par Adrien Mithouard (1906)Les gosses en marge DécouverteLire "Les Gosses en marge" |
Faits diversEsclave de sa Colère - 1895Bien que Sénèque ait dit « La colère est une courte folie », elle n'est pas toujours excusable, surtout lorsqu'elle se manifeste par des accès trop fréquents. LireL'alcoolisme - 1895Le boulevard de la Gare a été mis en émoi hier soir par un nommé Léon Marisson, âgé de trente-sept ans, terrassier, demeurant rue Xaintrailles. LireUn bien triste individu - 1896Les gardiens de la paix Déom et Métayer étaient de service l'avant-dernière nuit, vers trois heures et demie, dans la rue du Moulin-des-Prés, lorsque les cris « Au secours ! à l'assassin ! » poussés par une voix de femme, retentirent soudain dans la rue Gérard. LireUn coup raté - 1891L'avant-dernière nuit, vers trois heures du matin, une veuve Bricot, qui tient un garni 112, boulevard de la Gare, entendait tout à coup des cris provenant d'une chambre inoccupée de l'hôtel. LireLe crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907Un inconnu abordait, hier soir, vers quatre heures trois quarts, dans la rue Nationale, le sous-brigadier des gardiens de la paix Honoré Mariton, du treizième arrondissement, et lui déclarait : Je viens de tuer un homme qui m'avait emmené dans sa chambre, 1, cité Jeanne-d'Arc. Conduisez-moi en prison. LireLe crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907L'homme qui, la veille, avait étranglé, cité Jeanne-d'Arc, le journalier Jean Guérineau, a consenti à dévoiler enfin son identité. LireHaustrate aux Assises -1907Le 7 avril dernier, dans l'après-midi, le sous-brigadier Mariton, de service rue Nationale, voyait venir à lui un individu en proie à une violente émotion et qui lui déclara : LireLes étrangleurs des Gobelins - 1895Un drame boulevard de l'Hôpital - 1897Un jeu dangereux - 1897Un héros de Gaboriau - 1901Une bande d'aigrefins - 1897Une singulière hallucination - 1901Le cochon en ribotte - 1897Les roulottiers - 1906Les escroqueries d'une jolie fille - 1897Drame de la jalousie - 1905La traite des blanches - 1923Un meurtre boulevard de la Gare - 1897Le crime de l'avenue d'Italie - 1897Attaqué par un lion - 1897 |