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SAVIEZ-VOUS QUE...

Le 26 février 1912 à midi cinq exactement, la chaudière du tramway n° 399, de la ligne Porte-d'Ivry-les Halles, explosait rue Gay-Lussac, à hauteur de la rue de l'Abbé-de-L'Epée. Ce grave et peu banal accident faisait onze victimes qui, heureusement, ne furent pas très grièvement blessées.


La maison qui, en 1900, était située au 68 du boulevard d'Italie, servait de dépôt au sculpteur Rodin.


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

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C'est arrivé dans le 13ème

 Un drame boulevard de l’Hôpital - Le Figaro – 5 mars 1897

Un drame boulevard de l’Hôpital

Le Figaro – 5 mars 1897

M. Edmond Laflesselle, employé dans une Compagnie d'assurances, se mariait il y a trois mois avec une jeune fille de dix-huit ans, Juliette Nassot, avec laquelle il entretenait des relations depuis longtemps déjà.

D'un caractère très jaloux, Laflesselle, se croyant trompé, avait averti sa femme qu'il la tuerait si jamais il apprenait… ce qu'il appelait couramment… son malheur.

En fut-il informé? On ne le sait. Toujours est-il que, rencontrant Juliette, hier soir, à neuf heures, en face du n° 119, du boulevard de l'Hôpital, il lui tira deux coups de revolver. Frappée au front, la jeune femme s'affaissa sans proférer un cri. Elle était morte. Le meurtrier se logea ensuite une balle dans la tempe droite. Il est soigné à l'hôpital de la Pitié. Son état est très grave.

Le corps de la défunte a été transporté d'abord a la Morgue, puis, après qu'on eut établi son identité à l'aide des papiers trouvés sur son mari, au domicile de sa mère.


 Paris la nuit - 1903

Paris la nuit

Le Figaro — 31 mai 1903

Depuis quelque temps, le quartier de la Gare (treizième arrondissement) était plongé chaque nuit dans une profonde obscurité. Des malfaiteurs décapitaient les becs de gaz.

Deux d'entre eux ont été surpris rue du Chevaleret par des ouvriers de la maison Popp, qui, dans leur indignation, les ont à moitié assommés. On dû les porter à l'hôpital Cochin.


Une promenade dans le 13ème

 Paris 1933 - Jean Botrot

Le treizième arrondissement

Par Jean BOTROT
Le Journal — 18 novembre 1933

À l'époque où Paris fut divisé en arrondissements, il avait primitivement été décidé que le numéro treize écherait à la région de Passy et d'Auteuil. Mais ce nombre fatidique n'avait pas manqué de frapper, au sein de sa population, certains esprits prompts à s'émouvoir. On ne voulut faire à ces gens nulle peine même légère. Leur arrondissement reçut donc, en définitive, le numéro seize, cependant que le numéro treize allait aux quartiers de la Salpêtrière, de la Glacière et des Gobelins qui eux, s'en moquaient comme de leur première usine.

Nous ne saurions décider, quant à nous, si le nombre treize possède un pouvoir maléfique, ou si, comme le voudrait la superstition opposée, il peut être un porte - chance. Nous espérons toutefois que, dans la seconde éventualité, le treizième arrondissement finira par bénéficier de cette salutaire influence.

Le treizième est, en effet, du point de vue social, du point de vue humain, un des arrondissements les plus « intéressants » de Paris. Je donne ici au terme « intéressant » le sens qu'on lui assigne quand on dit : une personne, une œuvre intéressantes. On travaille dur, dans le treizième, mais pas toujours dans le cadre qu'il faudrait. On y a pas mal démoli, pas mal reconstruit, et cependant il a encore grand besoin de la pioche et du maçon. Ses notabilités m'ont fait observer qu'il est présentement « en pleine transformation » ce que je reconnais bien volontiers. 0 mystérieux nombre treize, capricieuse divinité, fais donc que cette transformation soit rapide, qu'elle soit suffisante et qu'elle s'accomplisse pour le plus grand bien-être de tous. ceux qui le méritent!

Les hommes ont besoin d'usines, ces usines ont besoin de cheminées, ces cheminées ont besoin de fumer et il faut bien que tout cela soit quelque part.

Tel est le vœu que je formais, ces jours derniers, en commençant, par le quartier de la Gare, la visite du treizième arrondissement. Nous n'espérons pas que ce quartier ressemble jamais à l'avenue Henri-Martin. Les hommes ont besoin d'usines, ces usines ont besoin de cheminées, ces cheminées ont besoin de fumer et il faut bien que tout cela soit quelque part. Le quartier de la Gare tirera donc toujours, de l'abondance des bâtiments industriels nécessaires à sa vie, une physionomie assez grave, assez sombre, assez dure. Mais qu'importe si l'ouvrier, une fois, rentré chez lui, s'y sent environné du confort et de l'hygiène indispensable, s'il y goûte, enfin, une autre douceur de vivre que celle — d'ailleurs d'ailleurs à dédaigner — qu'il peut demander au cinéma et au café ! Je pense que vous êtes d'accord. Vous serez donc également d'accord pour regretter l'abondance, dans ce quartier de la Gare, des immeubles vétustes, croulants et insalubres. On m'avait conseillé de voir, entre autres groupes de taudis, la cité Jeanne-d'Arc. J'ai donc vu la cité Jeanne-d'Arc et ses vieilles maisons d'un noir d'encre qui, d'ailleurs, ne sont pas dénuées d'une certaine beauté architecturale. Mais foin des beautés architecturales fermées à l'air pur et au soleil, foin de ces façades sculptées derrière lesquelles se livrent des drames où le microbe, invisible acteur, a toujours le premier rôle et, si j'ose dire, le dernier mot ! Une haute personnalité du monde artistique, M. Frantz Jourdain, qui est aussi un vieux Parisien et un grand urbaniste, a bien voulu nous écrire pour nous encourager à persister dans cet état d'esprit. Faisant allusion à l'hypocrite indignation de certains « artistes » devant le sacrifice de quelques nids à microbes plus ou moins historiques, il nous disait en substance ; « Qu'ils aillent donc y habiter ! » Bien raisonné, mon cher Maître !

Le treizième arrondissement, par bonheur, est bien loin d'être tout entier dans cet état. Même dans sa partie est, qui est la moins favorisée, on a construit, ces dernières années, bon nombre d'immeubles modernes. Ils ne sont pas toujours sans reproche, ni du point de vue de l'architecture, ni même du point de vue de l'hygiène. Du moins représentent-ils l'aboutissement d'un bel effort. Ou, plutôt non — pas son aboutissement : son début. En tout cas, nous le souhaitons. Les grands immeubles roses ou beiges des boulevards Masséna et Kellermann, qui longent l'ancienne ligne des fortifications, méritent à cet égard une mention spéciale. Des cités comme celle de la porte d'Italie — habitations de la Ville de Paris ou Cité du Combattant — sont l'indice d'un progrès considérable. Je n'oublie pas, néanmoins, qu'un vieux manœuvre du quartier Jeanne-d'Arc me disait avec une mélancolie résignée : « C'est encore des maisons pour les rupins ». On est toujours le riche de quelqu'un. Conclusion: il faut construire pour toutes les bourses, même pour les plus modestes. modestes. toutes les missions sociales, celle de l'architecte n'est pas, de nos jours, la moins importante.

Et puis, de grâce, messieurs les urbanistes, donnez un peu de verdure au XIIIe arrondissement ! Il y a, je le sais, le square de la place d'Italie, de cette place d'Italie qui n'est pas sans charme avec ses arbres tordus pareils aux arbres-fées de certaines légendes nordiques, et à laquelle on peut trouver une certaine ressemblance avec l'Etoile, tant ont belle apparence les avenues spacieuses et bien construites dont elle est le carrefour. Il y a donc le square de la place d'Italie. Et après ?

C'est à peu près tout. Il y a bien des projets. On parle notamment d'aménager un square sur l'emplacement de l'usine à gaz  désaffectée, à l'angle de la rue de Tolbiac et de l'avenue de Choisy. Pourquoi pas ? Mais, surtout, pourquoi pas tout de suite ? Nous ne perdons pas de vue les difficultés financières de l'entreprise. Mais enfin, il est des projets que l'on qualifie, en politique, de projets d'extrême urgence. Nous croyons que celui-là en est un.

Que rien ne soit donc négligé pour transformer les parties les plus sacrifiées du treizième arrondissement et aussi pour les embellir. Les premiers républicains professaient avec Hugo, que le peuple a besoin de beauté. Lieu commun- ? Non pas. On fait chaque année la toilette de Paris. Qu'on songe un peu à celle du XIIIe arrondissement. Je vais prendre un tout petit, un minuscule exemple. Il y a, devant la Salpêtrière, une statue de Charcot effroyablement rongée par le vert-de-gris. N'étant pas entrepreneur, je ne saurais dire combien il en coûterait pour refaire à l'illustre savant une physionomie présentable. Mais pas des millions, à coup sûr.. Je répète que l'exemple peut paraître Insignifiant. Mais j'en pourrais citer cent autres. Or, toutes les bonnes, ménagères vous diront que pour qu'une maison soit belle, il faut nettoyer les bibelots et les petits coins…

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Une chose donne de l'espoir: c'est que dans ce treizième arrondissement au bonheur duquel ne cessent de travailler des gens de cœur et à leur tête son maire, M. Olivier, également connu comme président de la Protection mutuelle des agents de chemins, de fer, un très sérieux effort a été fait en faveur de la collectivité.

Une chose donne de l'espoir: c'est que dans ce treizième arrondissement un très sérieux effort a été fait en faveur de la collectivité.

Ses établissements publics sont parmi les mieux aménages de Paris. On l'a notamment gratifié, ces dernières années, de quelques écoles modèles qui sont exactement celles, que l'on pouvait souhaiter aux hommes de demain. Combien vaste, combien clair, combien intelligemment conçu est par exemple, le groupa scolaire de la porte d'Ivry, dont la silhouette se découpe sur le pâle horizon de la zone comme celle d'un paquebot aux gigantesques hublots !

Il faut quelquefois peu de chose pour enchanter l'enfance. Mais, cela, il faut toujours le lui donner. Cent mètres carrés de terrain, un peu de gravier, quelques arbrisseaux, une légère construction de briques ou de ciment — et voilà un jardin d'enfants. Il y en a un, sur cette place Paul-Verlaine, qui domine la Butte-aux-Cailles, et qui est tout ce que l'édilité parisienne a trouvé dans Paris pour glorifier l'auteur des Fêtes Galantes. Je passais par-là hier. Un choeur de voix minuscules frappa soudain mon oreille, chantant, moins les r trop difficiles à prononcer, la première chanson que nous ayons tous chantée :

Au-clai-de-la-lune
Mon-ami-Pie-ot.

Je ne pus me retenir d'entrer. Les petits que je vis là, sous la surveillance d'une jeune femme aussi douce que jolie, n'ont certainement pas des parents bien fortunés. Ils me parurent encore trop jeunes pour aller à l'école. Pour eux, donc, ou bien le jardin d'enfants, ou bien le pauvre logis familial, à moins que ce nesoit la loge de la concierge, ce vestiaire où les mamans qui travaillent sont parfois bien forcées de déposer leurs mioches. Ah ! vive le jardin d'enfants !

En dehors de ces initiatives officielles, l'initiative privée agit, elle aussi, dans le treizième arrondissement. L'armée du Salut vient d'y créer rue Cantagrel quelque chose de très grand et de très beau : la Cité du Refuge.

Cette œuvre étonnante, jamais lasse de faire le bien, s'avisa certain jour que la quinzaine d'établissements qu'elle possédait à Paris et dans la banlieue étaient encore bien loin de suffire à la réalisation de ses généreux desseins. Elle décida donc de faire bâtir la Cité de la rue Cantagrel. La princesse de Polignac — dont le geste magnifique vaut d'être signalé — lui apporta une contribution personnelle d'un million huit cent mille francs. Deux architectes fameux, qui voient à la fois grand et nouveau, MM. Le Corbusier et Jeanneret, se mirent aussitôt à l'œuvre. On parlera sans doute beaucoup de la Cité du Refuge, au début du mois prochain, lorsqu'elle sera inaugurée en présence de M. Albert Lebrun. Laissez-moi vous dire dès aujourd'hui le rôle de ce formidable édifice qui apparaît, à l'extérieur, avec ses immenses façades de verre et de ciment armé, comme une des plus audacieuses parmi les constructions modernes — à l'intérieur comme la plus joyeuse des hôtelleries populaires, avec ses cloisons bleues, rouges et jaunes, aux couleurs de l'Armée du Salut. Ce sera là, m'a dit le directeur de la Cité, M. Bardiaux, homme énergique et bienfaisant, comme la « plaque tournante » de l'œuvre. Les hommes, les femmes, les familles qui s'y réfugieront y vivront la première étape de leur relèvement. Il y aura de grands réfectoires, des dortoirs, des chambrettes ensoleillées pour les mamans et leurs petits, des salles de douches, une nursery et un solarium pour les bébés, une salle des fêtes, un jardin. Ceux qui pourront payer paieront — le minimum, bien entendu. Pour les autres, on sait que l'Armée du Salut n'est jamais restée indifférente à aucune espèce d'infortune. Ceux qui ont faim trouveront du pain à la Cité du Refuge ; ceux qui vont en loques y trouveront des vêtements. Je ne manque pas cette occasion de signaler qu'il suffit d'un coup de téléphone à l'Armée du Salut pour qu'elle envoie prendre à domicile tous les effets qu'on veut bien lui donner. Ne croyez pas, hélas ! qu'elle en reçoive jamais trop !

Terrible problème que celui de la zone. Elle doit disparaître, c'est décidé, c'est normal. Mais on songe à tous ceux qui vivent là, et l'on s'attriste, et l'on s'inquiète…

Au sud, mais à l'intérieur de l'arrondissement, depuis qu'il a empiété sur les anciens territoires de Gentilly, du Kremlin-Bicêtre et d'Ivry, la zone. Au printemps, en été, la zone a quelque chose de champêtre et de pittoresque qui lui donne une certaine poésie que Bruant, vivant, n'eût pas manqué d'exprimer après celle des fortifs. En cette saison, elle n'est plus qu'un lac de boue où les bicoques faites de mille débris, les hangars et les roulottes forment des îlots noirs et sinistres.

Terrible problème que celui de la zone. Elle doit disparaître, c'est décidé, c'est normal. Mais on songe à tous ceux qui vivent là, et l'on s'attriste, et l'on s'inquiète…

Car la zone s'est organisée. Elle n'est plus un simple campement, mais une succession de villages dont chacun a sa ceinture de boutiques, où l'on envoie les petits zoniers acheter les légumes du pot-au-feu et l'indispensable vin rouge à deux francs dix le litre.

Des fleurs, parfois même des arbres ont été plantés sur le seuil des cahutes. Des antennes de T. S. F. ont été installées sur les toits. Quand le chiffonnier avait amassé, sou à sou, de quoi améliorer son intérieur, il faisait parfois l'emplette d'un véritable mobilier. On s'était installé comme si c'était pour toujours... Une sorte de république s'était créée.


Un aspect sinistre de la zone

Tout ce qui vivait là semblait fait pour la zone : les automobiles modèle 1910 comme on en voyait dans les premiers films de Charlot, les grands chiens bâtards et roux, et jusqu'au sol ingrat auquel on arrivait cependant à arracher le sourire d'un rosier. On avait voulu oublier qu'un jour il faudrait partir. Or ce jour serait imminent…

Mais où aller ?

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Le treizième arrondissement, dans sa partie ouest, change curieusement de visage. Autant nous l'avons vu, dans le quartier de la Gare, à la fois triste et bruyant, autant il contient Ici des retraites ignorées et charmantes. Cela commence au sud, dans l'ancienne région des moulins, rue du Moulin-des-Prés, rue du Moulin-de-la-Route, rue Moulinet. Le quartier est paisible, vieillot, petite province. Quelques arbres, au-dessus des murs font des signes d'amitié au passant. Puis on traverse l'avenue des Gobelins et là, derrière la manufacture, on découvre de véritables jardins. J'y ai même vu une vraie cour de ferme, où un grand escogriffe de coq vert et or escorté de trois poules blanches, se promenait majestueusement entre un tas de fumier et un antique char à bancs « levant au ciel ses deux brancards », comme celui du prologue de Chanceler.

Dans ce quartier où prospérèrent les tanneries, au temps où la Bièvre reflétait encore le ciel de Paris, l'enseigne « Cuir et Peaux » subsiste sur quelques façades. Mais l'activité de ces rares établissements ne trouble nullement la paix de la rue Croulebarbe, ni celle de la rue Corvisart, encore moins celle de cette ruelle des Gobelins, où l'herbe et la mousse poussent entre les pavés, à l'ombre des murs adorables de la vieille manufacture. On ne peut s'empêcher, dans ce coin chanté par maint et maint écrivain, de Victor Hugo à Huysmans, de rêver à la pauvre et gentille Bièvre, assassinée par le Progrès — et que l'auteur de Là-Bas se figurait, mythologiquement, « incarnée en une fillette à peine pubère, en une naïade toute petite jouant encore à la poupée sous les saules ». La Bièvre est maintenant sous six pieds d'asphalte. Pour l'apercevoir, il faut, paraît-il, aller jusqu'au Kremlin-Bicêtre, où elle ne joue d'ailleurs pas à la poupée, mais à la chiffonnière, au milieu des détritus qui encombrent ses rives. Inutile d'aller voir cela.

Évocations, souvenirs, fantômes..

Marius, le héros des Misérables, qui habitait tout près d'ici, « boulevard de la Santé, au septième arbre après la rue Croulebarbe »… Jean et Philibert Gobelin marchands-teinturiers en écarlate, qui donnèrent leur nom à la manufacture… Plus loin encore, le château de la Reine-Blanche, qui vit le terrible « Bal des Ardents », plusieurs seigneurs de la cour de Charles VI brûlés vifs sous leurs déguisements de sauvages…

Disparu, le château ? Non pas. Le voici au fond d'une cour de la rue des Gobelins, intact de sa base trapue à la pointe de sa tourelle. Il abrite aujourd'hui une fabrique de papiers de couleurs, ce qui n'est nullement un sacrilège. Ce qui en serait un, ce serait de transformer, de moderniser ce quartier à la fois délicieux et grandiose. Hélas ! calmes rues, beaux jardins, vieux souvenirs. Paris, s'il s'y mettait, ne ferait de vous qu'une bouchée ! Et j'ai bien un peu peur pour vous… J. B.

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Presque en face de la Salpetrière, à l'angle du boulevard Saint_Marcel et du boulevard de l'Hôpital, est un vaste enclos entouré de grilles, planté d'arbres, percé d'allées déclives, hérissé de palissades divisées en stalles de diverses grandeurs c'est le Marché aux chevaux, (1890)

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