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Dans les journaux

Le Gaulois


 Coins de Paris fin d

Coins de Paris fin d'août.

Il faut être le Parisien au coup d'œil exercé, condamné à l'asphalte forcé à perpétuité pour trouver déjà un petit changement dans la physionomie de Paris.

Comme ceux-là seuls qui soignent un être cher s'aperçoivent d'un léger mieux dans l'état du malade, ceux qui n'ont pas de la saison quitté un instant le boulevard sentent que le pouls de la capitale se remet à battre, faiblement encore, mais de façon appréciable.

Les étrangers y pullulent encore ; on trouve encore tous les types exotiques des tournées circulaires ; on entend encore tous les dialectes aux articulations improbables, mais on remarque des bâillements de persiennes depuis longtemps fermées et c'est aux gares un mouvement significatif « d'arrivées ».

Nombreux déjà les petits omnibus de familles qui sillonnent la capitale, surchargés des classiques bagages, des colis révélateurs des villégiatures les filets de pêche, les pelles et les râteaux des enfants, la bicyclette emprisonnée dans sa cage d'osier.

Dans ces véhicules, des familles bronzées par le grand air et par le soleil brûlant d'août aux fenêtres, des petits mulâtres tout rôtis, portant soigneusement l'inévitable panier où s'étale brodé un nom de plage et qui à chaque cahot révèle son chargement de coquillages.

Il faut dire que la pluie a ramené plus tôt quantité de campagnards dégoûtés de leurs lointaines petites prisons et préférant celle que bornent de tous côtés les fortifications.

Puis, c'est la chasse qui, momentanément, ramène ses fervents, pour les apprêts, les provisions, pour un changement de direction. Puis, d'autres raisons, les affaires du mari, les cours préparatoires du garçon, des raisons de ménage, des raisons de famille, etc.

Et, dans les artères vides du grand Paris, le Parisien sent petit à petit s'infuser le sang qui va lui rendre la vie !

Le Gaulois — 28 août 1897
 Les souris de Mme Alexandre

AU JOUR LE JOUR

Les souris de Mme Alexandre

Sébastien Mercier prétendait que son Tableau de Paris devait être refait tous les cinquante ans. On pourrait en dire autant du livre bien connu dans lequel Privat d'Anglemont a curieusement décrit une foule de petits métiers, aussi bizarres qu'insoupçonnés. De ces derniers, beaucoup n'existent plus depuis longtemps, mais il s'en crée chaque jour de nouveaux qui mériteraient bien de rencontrer, à leur tour, un historien.

C'est ainsi, par exemple, qu'un de nos confrères annonce que la Faculté de médecine vient de renouveler le traité, en bonne et due forme, qu'elle a déjà passé, l'année dernière, avec son fournisseur de souris. Cette nouvelle inattendue ne nous a pas laissé indifférent, et bien qu'il nous parût étrange, de prime abord, que la Faculté se procurât, contre espèces sonnantes, de charmantes bestioles que tant de personnes seraient heureuses de lui livrer pour rien, pour le plaisir d'en être débarrassées, nous nous sommes cependant empressé de nous mettre en quête de renseignements.

Nos recherches, fort heureusement, n'ont pas duré longtemps. Dès les premiers mots, l'aimable concierge de la Faculté de médecine, auquel nous nous sommes adressé en premier lieu, nous arrête :

— Ah ! je devine vous voudriez acheter des souris ?

— Si c'était possible…

— Il vous faut aller au marché Saint-Germain. Vous demanderez Mme Alexandre. C'est elle qui fournit de souris MM. les docteurs Richet, Chantemesse et quelques autres. Vous aurez de quoi choisir.

Nous remercions du renseignement et quelques minutes après nous sommes en présence de Mme Alexandre, installée à son comptoir. Autour d'elle, dans des caisses grillagées, des lapins et des cobayes broutent mélancoliquement des feuilles de chou et de salade. Vive, alerte, Mme Alexandre s'entretient complaisamment avec nous, sans s'interrompre de servir ses nombreux clients.

Il y a près de quinze ans que Mme Alexandre fournit de souris la Faculté de médecine, le Laboratoire municipal, l'Institut Pasteur, en un mot, tous les établissements où l'on se livre à des expériences in anima vili. Elle a peu ou point de concurrents. Ses souris, nourries exclusivement de pain et de lait, sont blanches, grassouillettes. Si elles ne remplissaient ces deux conditions, les savants ne les accepteraient pas pour leurs expériences. A trois mois, avec l'excellent régime auquel elles sont soumises, les souris sont à point. Elles peuvent même résister aux fatigues d'un long voyage en chemin de fer. Car Mme Alexandre n'a pas seulement la clientèle des savants parisiens. Sa réputation est tellement bien établie, que de l'étranger, de Londres et de Genève notamment, il lui arrive chaque jour des demandes. Mme Alexandre ne tient guère à expédier ses petits animaux à l'étranger. C'est, pour elle, des ennuis à n'en plus finir.

— Pensez-donc, monsieur, nous explique-t-elle, je suis obligée d'enfermer mes souris dans des cages, enveloppées d'une toile qui doit être cachetée. Mais ce n'est rien. Ces précautions, que m'imposent les Compagnies de chemins de fer, préviennent les accidents et tournent, en somme, à mon avantage. Mais ce qui est vraiment ennuyeux, c'est que je ne puis mettre dans chaque cage que des souris d'une même famille.

— Et pourquoi cela, madame Alexandre ?

— Monsieur, elles se dévoreraient entre elles.

Qui aurait cru que la tribu des souris eût ses Capulets et ses Montaigus, séparés par des haines si farouches ?

Vous pensez bien que pour suffire à de si nombreuses demandes, il faut que Mme Alexandre ait, à toute heure, un grand approvisionnement de souris. Rassurez-vous. Actuellement, ses cages en renferment un millier, et comme il s'agit d'une, race merveilleusement prolifique, ce nombre déjà respectable se trouvera doublé dans l'espace d'un mois.

Les nouvelles venues seront bien accueillies, car au mois d'octobre de chaque année, à l'époque de la réouverture des cours, il se fait de terribles hécatombes de souris. C'est le moment du « coup de feu » et Mme Alexandre ne sait plus alors où donner de la tête. Elle est, fort heureusement, amplement dédommagée de ce surcroit de travail. En effet, Mme Alexandre vous céderait maintenant une de ses gentilles pensionnaires pour 75 centimes, mais au mois d'octobre vous ne l'obtiendriez pas pour moins de i franc. C'est le prix courant. Comme ce chiffre nous paraît un peu élevé et que nous manifestons un peu d'étonnement, Mme Alexandre reprend :

— Mais vous ne vous figurez pas, monsieur, tous les soins que nécessitent mes petites pensionnaires. Il faut tout le temps s'occuper d'elles. Il y en a qui meurent quelques jours après leur naissance. La tuberculose les guette…

C'est le revers de la médaille dans le métier d'éleveur de souris. Mais ce n'est pas le seul. Notre interlocutrice nous confie que, depuis quelque temps, certains garçons de la Faculté de médecine se mettent à lui faire une concurrence qu'elle qualifie de déloyale. Non contents d'élever à leur tour des souris pour les vendre aux professeurs, ils recueillent précieusement celles qui ont déjà été « travaillées >, les comblent de petits soins afin de les remettre sur pied et, ce résultat obtenu, ils les vendent une deuxième fois.

— Monsieur, nous dit gravement Mme Alexandre, comme nous nous séparons d'elle, ces choses-là ne devraient point être permises. Une souris « travaillée » n'est plus bonne à aucune expérience. Et puis d'ailleurs, est-ce à des garçons, payés par le gouvernement, c'est-à-dire par nous, à faire concurrence aux « commerçants » ?

Jean Pradelle.
Le Figaro — 30 août 1897
Séparation CHRONIQUE DE L'ELEGANCE

CHRONIQUE DE L'ÉLÉGANCE

Au point de vue culinaire les mœurs françaises se sont complètement transformées depuis un demi-siècle. La coutume de servir un grand nombre de plats à chaque repas est absolument démodée et même dans les maisons les plus opulentes on a absolument proscrit l'ordonnance ancienne des deux potages, relevé, quatre entrées, double rôti et entremets variés.

On trouve odieux la station prolongée à table et il faut que le service soit promptement achevé. Un dîner qui se prolongerait au delà de trois quarts d'heure serait déclaré insupportable et nous pouvons constater qu'à bien peu d'exceptions près, notre génération s'applique à manger le moins possible. Même on remarque que depuis quelques années l'engouement pour les viandes noires a beaucoup diminué.

Les hommes jeunes et très robustes seuls leur donnent encore la préférence on les défend aux enfants et aux estomacs débiles. Un plat d'œufs, une viande chaude, une viande froide, légumes et salades, un entremets de pâtisserie si l'on veut, tel est le menu habituel des déjeuners dans les maisons les mieux tenues. Un potage, un relevé, une entrée, un rôti chaud, un rôti froid, salade, légumes et plat doux, des fruits, peu ou point de bonbons, voilà pour le dîner lorsque l'on est nombreux, et l'on ne songe même pas, en dehors des grands dîners de cérémonie, à changer le menu si l'on reçoit plusieurs personnes en supplément à sa table. Le vrai luxe consiste à présenter de très grosses pièces, viandes, poissons, volailles ou gibier abondant. En revanche, la cuisine est extrêmement soignée, on est horriblement difficile et le rôti arrosé et cuit à point, les jus savoureux, les assaisonnements délicats sont à chaque repas l'objet des observations d'une maîtresse de maison qui connaît ses devoirs envers ses hôtes. Les détails du service sont très recherchés. 

Le Gaulois — 25 septembre 1897
Séparation CHRONIQUE INDUSTRIELLE - La destruction des pierres - Le Matin – 9 janvier 1897

CHRONIQUE INDUSTRIELLE

La destruction des pierres.

Le choix des matériaux dans une construction doit être une des principales préoccupations de l'architecte. La nature du bois, la composition des pierres, la constitution du fer doivent être examinées avec soin pour obtenir la solidité, la résistance et la durée des habitations.

Au bois et à la pierre, qui avaient servi jusqu'en ces dernières années à constituer l'ossature d'un bâtiment, est venu se joindre le fer qui, progressivement, tend à les suppléer, si ce n'est à les supplanter. L'ancienne école a manifesté pendant longtemps une répugnance à l'employer. Elle prétendait que l'expérience n'avait point consacré toutes les qualités qu'on prêtait à ce rival puissant, tandis que des monuments datant de plusieurs siècles attestaient la valeur du bois et de la pierre. Toutefois, il a fallu suivre l'impulsion du progrès et adopter les méthodes de la nouvelle école.

En recherchant les pierres de bonne qualité, on été conduit à rechercher leur formation géologique et à déterminer leur composition. Tel calcaire d'une dureté très suffisante, tel schiste très résistant au sortir de la carrière, arrivait à se désagréger rapidement au contact de l'air.

Souvent, on a attribué à la gélivure la destruction des pierres dont la cause était d'en ordre tout diffèrent. Une réaction chimique peut se produire en présence de l'eau et du mortier et amener l'émiettement de la pierre.

Il n'est pas rare de rencontrer des calcaires renfermant de l'argile, qui, par leur cuisson, donneraient un ciment de bonne qualité. Exposés à l'air, ils se délitent peu à peu.

Les schistes imprégnés de sulfure sont toujours dangereux. Au contact de l'air humide, il se forme du sulfate de fer qui gonfle toute la masse de maçonnerie et en amène rapidement la destruction.

La présence du soufre dans les matériaux de construction doit toujours les rendre suspects. Il peut arriver que la conservation de la pierre en renfermant ne soit pas altérée lorsqu'elle est isolée, mais au contact du mortier elle se décompose. Le gypse cristallisé en fer de lance se conserve assez bien à. l'air et à l'humidité. Mais il n'offre aucune résistance lorsqu'il se trouve au contact de calcaires magnésiens. On voit apparaître aussitôt des efflorescences blanches qui indiquent qu'une double décomposition est intervenue entre le gypse et le calcaire. Il s'est formé du sulfate de magnésie; au détriment du -plâtre.

Il importe donc de déterminer la composition chimique des matériaux que l'on emploie et de se rendre compte des réactions subséquentes qui peuvent survenir en présence de l'eau, de l'air et du mortier. En examinant la structure de la pierre, on reconnaîtra si elle est homogène ou si elle présente des cristaux enchâssées dans une l'action de l'air ou de la gelée.

Cette étude scientifique doit être poursuivie avec une scrupuleuse attention, lorsque l'on veut avoir de bonnes constructions. Il ne suffit pas d'admettre que les carrières exploitées ont toujours fourni d'excellents matériaux pour se croire l'abri de toute recherche.

La nature des bancs varie d'un étage à l'autre; il y a donc intérêt à s'assurer que la constitution géologique est toujours de même formation.

Le Matin – 11 janvier 1897
Séparation Une expérience thérapeutique sai

Peut-être ?

Une expérience thérapeutique saisissante, et dont les résultats acquis sont déjà considérables, se poursuit silencieusement, depuis plusieurs mois déjà, à l'Institut médical, 28, rue de La Boëtie, à Paris. La tuberculose, attaquée vigoureusement par un traitement rationnel, semble céder et, dans les milieux scientifiques, on paraît concevoir la possibilité de juguler la terrible maladie. En tout cas, il est d'ores et déjà certain que les poitrinaires du premier et du second degré sont curables.
 
La méthode employée n'a rien de mystérieux ou de charlatanesque elle consiste purement et simplement en l'application simultanée de trois manières bien connues du monde médical, et dont les résultats individuels étaient déjà satisfaisants les inhalations de formaldéhyde, les injections sous-cutanées de sérum de bouc, et enfin l'adjonction du bain électrique statique.
 
Le pouvoir antiseptique puissant de l'aldéhyde formique est bien connu. De l'aveu de tous les spécialistes en matière dé tuberculose, son action sur le bacille de Koch est décisive. La difficulté, qu'on pouvait croire insurmontable, gisait dans l'application. On sait, en effet, que l'inspiration des vapeurs de formol, à l'état pur, provoque de violents accès de toux, des picotements intolérables des muqueuses, et qu'on ne soumettrait pas impunément des organes respiratoires délicats ou malades à leur efficace toxicité microbienne. Il a donc fallu découvrir un moyen terme, et ce n'est pas un des moindres mérites de l'Institut médical de Paris que d'avoir mis en pratique la combinaison de la formaldéhyde et du gaz acide carbonique, cet anesthésique, dont l'association rend possibles des inhalations quotidiennes de vingt-cinq minutes et plus. Le bacille de Koch, combattu directement dans les cavernes où il prolifère, voit si rapidement s'affaiblir sa vitalité qu'il cesse de se reproduire en un court laps de temps. Les expectorations débilitantes ne tardent pas à s'atténuer et le malade, de ce chef, ressent déjà un soulagement marqué.
 
Les lecteurs du Figaro n'ont point oublié les polémiques passionnées auxquelles donna lieu la découverte des injections sous-cutanées. Il est admis aujourd'hui que leur action dynamique est considérable et que le seul fait d'introduire, par la voie hypodermique, quelques centimètres d'eau distillée dans l'économie humaine provoque un relèvement considérable des forces. Si au lieu de l'aqua simplex on emploie un sérum stérilisé suivant les procédés en usage à l'Institut Pasteur, et que de plus ce sérum soit extrait du sang du bouc, l'animal essentiellement réfractaire à la tuberculose, le bacille de Koch, atteint à nouveau dans sa vitalité, baignant dans un liquide impropre à sa fécondation, s'étiole à son tour dans une anémie salutaire au sujet qu'il épuisait par sa présence.
 
C'est l'assemblage des deux traitements précités qui constitue la base actuelle de la thérapeutique employée à l'Hôpital des jeunes poitrinaires de Villepinte, ou la mortalité est descendue dans des proportions si probantes. Malgré cela, l'institut médical de la rue de La Boëtie adjoint encore aux deux premiers un troisième mode de procéder qui consiste en l'application au relèvement du malade des curieuses propriétés de l'effluva statique. Sous l'influence de l'électricité statique, action sur les causes de laquelle on n'est encore qu'imparfaitement fixé, le sujet reprend sa vitalité, sa résistance s'accentue et il n'est pas rare de voir des gens littéralement aux abois se redresser, reconquérir l'appétit et engraisser avec rapidité de plusieurs kilogrammes.
 
Les premiers résultats du traitement inauguré par l'Institut médical de Paris sont tellement concluants, les contre-expériences sont tellement favorables, qu'il est permis de tout espérer. La Phtisie pulmonaire serait-elle enfin vaincue? Peut-être!

Dr P Langevin.

Le Figaro – 9 décembre 1897

Séparation Dans bien des cas- Liebig

Dans bien des cas, on n’a pas sous la main de bon bouillon de viande, ni même de quoi en faire rapidement ; parfois aussi, on ne se soucie pas trop d’en préparer à l’avance à cause de l’insipide bouilli qui en résultera. Que l’on fasse usage, alors d’Extrait de viande Liebig, et, grâce à ce produit, on aura toute facilité pour obtenir, en quelques minutes, un excellent bouillon corsé au degré que l’on voudra. Le Liebig n’est, en somme, qu’un parfait bouillon de viande concentré, totalement dégraissé, ce qui le rend encore plus facilement toléré et assimilable. Il contient tous les principes extractifs solubles de la viande de bœuf, c’est-à-dire une quantité considérable d’albumines assimilables, véhiculées par des principes sapides et odorants qui stimulent les forces sans fatiguer l’estomac.

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Séparation La bienfaisante eau de Saint-Galmier - Fig. 14/01/97

Les rhumes très fréquents en cette saison ont une fâcheuse répercussion sur l'estomac, en raison même de la médication que l'on est obligé de suivre pour se guérir. Afin de sauvegarder les voies digestives, il faut prudemment consommer aux repas la bienfaisante eau de Saint-Galmier, qui depuis un demi-siècle répand ses bienfaits sur tous ses fidèles, dans l'Europe entière, tributaire de ses sources célèbres.

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Moustaches Rateau

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Séparation Capillus

La recoloration des cheveux est l’objet de grandes recherches et les personnes qui arrivent au moment du blanchiment essaient de bien des produits qu’elles ne tardent pas à rejeter bien loin, soit qu’ils ne produisent aucun résultat.
Très facile d’emploi, inoffensive et d’une réussite certaine est la Poudre Capillus que l’on trouve à la Parfumerie Ninon, 31, rue du Quatre-Septembre, par boîtes de 5 fr. , 8 fr. et 12 fr. et que l’on reçoit franco chez soi en envoyant un mandat-poste de 5 fr. 50, 8 fr. 50 12 fr. 85. La Poudre Capillus recolore à sec et rend aux cheveux leur couleur naturelle.

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Hammam

Séparation Les vieilles fausses dents sont en vérité encombrantes

Les vieilles fausses dents sont en vérité encombrantes, car elles ne peuvent servir ni à leur ancien propriétaire, ni à personne autre. On ne peut pas les donner et on hésite à les jeter, vu qu'elles vous ont coûté fort cher. A cette difficulté, une maison anglaise a trouvé une solution. Vous n'avez qu'à expédier par la poste ces intimes mises à l'écart à MM. R. D. et J. B. Fraser, 5, rue Jehan-Véron, à Dieppe, ils vous remettront soit un chèque du montant le plus élevé que l'on pourra donner, ou l'estimation, et si le prix offert ne vous convient pas, les objets vous seront retournés. Pourquoi conserver de telles choses quand vous pouvez en faire de l'argent si facilement ?



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