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UNE ÉVOCATION DU 13ÈME ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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SAVIEZ-VOUS QUE...

C'est en juillet 1905 que le nom de Paul Verlaine fut donné à une place sise à Paris dans le 13e arrondissement.


C'est le 5 mars 1930 que furent ouvertes les stations de métro Tolbiac, Maison-Blanche, Porte d'Italie et Porte de Choisy qui faisaient alors partie de la ligne 10.


Le Paris-Soir du 24 octobre 1932 rapportait que, rue de la Glacière, un magasin de jouets affichait sur sa porte cette pancarte : « Ici on remplace les mauvaises têtes » et commentait en écrivant : « Quel dommage que cette chirurgie miraculeuse ne puisse encore s'appliquer qu'aux belles poupées de porcelaine rose ! »

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Noté dans la presse...

1912

Sauvons les Gobelins !

Dans la pénurie lamentable des crédits affectés aux beaux arts, le budget des Gobelins est peut-être le plus précaire.

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C'est arrivé dans le 13ème

 Paris la nuit … - 1894

Paris la nuit …

Le Figaro ― 24 octobre 1894

M. Potut, professeur, suivait hier soir, vers minuit, la rue Lebrun, dans le quartier des Gobelins, lorsqu'il fut assailli par cinq rôdeurs qui, pour le dévaliser mieux à leur aise, l'accablèrent de coups. A moitié assommé, incapable d'opposer aucune résistance,. M. Potut dut se résigner à voir passer entre les mains des malfaiteurs sa montre et sa chaîne en or, son portefeuille renfermant des papiers de famille, son porte-monnaie contenant une centaine de francs et même son foulard.

Mais des gardiens de la paix qui étaient survenus avant que les agresseurs aient songé à prendre la fuite, ont pu arrêter trois d'entre eux. Ils ont été envoyés au Dépôt.

M. Potut a été transporté à son domicile dans un état alarmant.


 Les apaches recommencent

Les apaches recommencent

Le Petit-Parisien ― 27 octobre 1915

En rentrant chez lui, avenue de Choisy, la nuit dernière, M. Ernest Rousset, cinquante-trois ans, employé à la boulangerie les hôpitaux, a été assailli par trois inconnus et frappé coups de poing et d'un coup de couteau au côté droit.

A ses cris et à ceux de sa femme, qui, de la fenêtre,  assistait à l'agression, les rodeurs s'enfuirent, emportant le sac à provisions du boulanger.


Faits divers

 Quadruple empoisonnement - 1893

Quadruple empoisonnement

Le Journal ― 20 août 1893

On appelle arlequins les restes des grands restaurants, lycées, etc., qui, après avoir été accommodés par certains commerçants exploitant ce commerce, sont revendus par eux, pour quelques sous, aux ouvriers nécessiteux.

Hier, une dame Choquenot, habitant avec son mari, ouvrier cordonnier, et ses quatre enfants, rue du Moulin-des-Prés, envoya l'un de ses enfants acheter, pour le repas, une assiettée d'arlequins au marché des Gobelins.

La petite revint avec des haricots que toute la famille mangea de grand appétit. A cinq heures, les pauvres gens furent pris de vomissements et de douleurs terribles. On dut en toute hâte aller chercher un médecin et prévenir le commissaire de police. Celui-ci fit transporter les malades à l'hôpital Cochin.

L'aînée des enfants, une petite fille de sept ans, y est morte dans la soirée. Les autres sont considérés maintenant comme étant hors de danger.

De l'enquête à laquelle s'est livrée le commissaire de police, il résulte que les haricots qui ont failli empoisonner toute la famille Choquenot avaient été achetés par le marchand d'arlequins au lycée Louis-le-Grand.

Or, on sait qu'il y a en ce moment une dizaine de personnes très gravement malades dans cet établissement.


A lire également

Le marché des Gobelins (1867)

Les Bijoutiers (1872)

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Ailleurs sur Paris-Treizieme

Extension de la Gare du chemin de fer d'Orléans

On a mis récemment à l'enquête un projet d'agrandissement de la Gare du chemin de fer d'Orléans, à Paris, qui consiste à étendre les dépendances de cette gare jusqu'au quai d'Austerlitz, par l'annexion de tout l'emplacement compris entre ce quai, la rue Papin et le boulevard de l'Hôpital. (1862)

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Portrait : Emile Deslandres

Conseiller municipal du quartier Croulebarbe (1925)

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Promenade électorale dans le XIIIè

Le treizième a toujours été la cité des pauvres. Il sue encore la misère avec ses îlots de maisons délabrées… avec la rue du Château-des-Rentiers, ô ironie, avec la Butte-aux-Cailles chère à Louis-Philippe. Et comme la misère va de pair avec la douleur, beaucoup d'hôpitaux, la Salpêtrière, la Pitié, Broca, Péan, des asiles, des refuges. Sur 33.500 électeurs, 28.000 paient de 500 à 1.200 francs de loyer par an. Au prix actuel du gîte, ces chiffres ont une triste éloquence ! On ne s'étonnera pas si le treizième est politiquement très à gauche… et même à l'extrême gauche. (1927)

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Trop de clairons dans le quartier de la Maison-Blanche

Tandis que les chauffeurs ne pourront claironner ou trompeter par les rues de Paris, des escouades de bruiteurs autorisés continueront, embouchure aux lèvres, leur pas accéléré quotidien dans les rues du quartier de la Maison-Blanche en général, boulevard Kellermann en particulier. (1929)

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Menu faits divers

Faits divers

Le drame de la rue du Tage : Le parricide condamné à 5 ans de réclusion - 1935

Les Sorel ont abandonné le clair logis de Belleville et sont allés vivre, à l'autre bout de Paris, rue du Tage...

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Le drame de la rue du Tage - 1903

Un drame qui a causé une profonde émotion dans le quartier de la Maison-Blanche s'est déroulé, hier soir à dix heures, dans l'immeuble portant le numéro 8 de la rue du Tage

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Le drame de la rue Albert - 1907

Après avoir joué au Diabolo un forcené fait deux victimes.

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Le drame de la rue de Patay - 1892

Hier après-midi, un homme d'une quarantaine d'années s'affaissait sur le trottoir de l'avenue d'Ivry.

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Le drame de la rue Duméril - 1888

Le nommé Désiré Caritey, journalier, âgé de quarante ans, demeurant rue Duméril, 17, marié et père de trois enfants, avait avec sa femme, avant-hier soir, une vive discussion pour un motif bien futile.

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Les crimes d'un alcoolique - 1898

La rue des Malmaisons, inconnue de bien des Parisiens, est située avenue de Choisy, le long du chemin de fer de ceinture. À part quelques commerçants de détail, elle est habitée presque exclusivement par des ménages de chiffonniers.

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Esclave de sa Colère - 1895

Bien que Sénèque ait dit « La colère est une courte folie », elle n'est pas toujours excusable, surtout lorsqu'elle se manifeste par des accès trop fréquents.
C'est le cas de la nommée Augustine Couffier, âgée de trente-huit ans, ménagère, demeurant rue des Malmaisons.

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L'alcoolisme - 1895


Un bien triste individu - 1896


Un coup raté - 1891


Le crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907


Le crime de la Cité Jeanne d'Arc - 1907


Haustrate aux Assises -1907


Les étrangleurs des Gobelins - 1895


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Une bande d'aigrefins - 1897


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Le cochon en ribotte - 1897


Les roulottiers - 1906


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